
Fiction
Ceci est le 7ème épisode de la première saison du Deftech Podcast. Il s’agit d’un

Défendre notre intégrité cognitive
Ceci est l’épisode 6 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Remparts légaux
Ceci est l’épisode 5 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Guerre cognitive
Ceci est l’épisode 4 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Les machines qui lisent nos pensées
Ceci est l’épisode 3 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

La fracturation de l’attention
Ceci est l’épisode 2 de la série « La menace cognitive » du Deftech Podcast.

Solastagie
Le terme de solastalgie a été forgé en 2003 par le philosophe australien Glenn Albrecht pour désigner un sentiment

Sénophobie
La sénophobie se manifeste par des attitudes, des comportements ou des politiques qui marginalisent, excluent ou désavantagent les seniors.

Algoranto
L’algoranto est une langue universelle née de la traduction automatique généralisée sur les plateformes numériques. L’algoranto dispose d’un vocabulaire


Q067 | Pourquoi et comment constituer une fiche de description de projet?
La fiche de description de projet est le complément idéal au Business Model Canvas présentant la vision globale du programme de prospective. Pour chaque action


Q161 | Affiner sa stratégie d’enseignement pour améliorer l’impact d’un dispositif de prospective ?
Un changement de comportement, n’est-ce pas le savoir-être que l’on souhaite acquérir face à l’incertitude, et le changement de représentation celui du changement de modèle

Q235 | Comment bien choisir le format de sa cellule d’anticipation ?
À la question “quel est le type de cellule idéale ?” nous sommes tentés de répondre : cela dépend de vos enjeux. Ce choix organisationnel


Q111 | Des mots pour inventer le futur ?
On ne peut pas penser sans mots. « Il n’existe pas de pensée sans langage. C’est le mot qui donne à la pensée son existence


Q129 | Qui trouve-t-on dans la cabine de pilotage d’une démarche de prospective ?
La réponse à cette question tient en quelques mots : le prospectiviste, le client et le décideur. Dans un texte intitulé Reflecting on scenario practice:

#51 Martin Hirsch | S’engager pour transformer
Martin Hirsch est un haut fonctionnaire, à l’origine du revenu de solidarité active. Ancien directeur général de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris, il est

#48 Bertrand Piccard | Faire confiance au présent
Bertrand Piccard est un psychiatre et explorateur suisse.
En 2003, il fonde la fondation Solar Impulse et se fixe comme objectif d’identifier le plus grand

#3 Isabelle Autissier | Cultiver une relation apaisée avec les écosystèmes
Isabelle Autissier est une navigatrice française, première femme à avoir accompli un tour du monde lors d’une compétition, en 1991. Installée à La Rochelle, elle

#6 Ketty Steward | Raconter et écouter de nouvelles histoires
Ketty Steward a plus d’une corde à son arc. Autrice, elle a publié son dernier livre de sciences-fiction, l’évangile selon Myriam, en octobre dernier.

Coup de boule
Bouleversé par la disparition des abeilles, Boule décide de mettre fin à ses jours. Son père part en quête d’espoir dans un monde sans pollinisateurs.

Écophobie
Écophobie caractérise l’attitude de ceux qui nient ou minimisent les enjeux écologiques. Face à des informations anxiogènes sur l’état de la planète, l’individu détourne le

Géoff
À 20 000 kilomètres au-dessus de nos têtes, les satellites du Système mondial de positionnement (GPS) orchestrent le fonctionnement de la planète. Un simple boulon

Algoranto
L’algoranto est une langue universelle née de la traduction automatique généralisée sur les plateformes numériques. L’algoranto dispose d’un vocabulaire simplifié, standardisé et optimisé pour les
Si l’on veut goûter à quelque-chose de doux, il faut manger les bonbons, pas l’emballage. Pour conquérir la liberté, il faut en assimiler la substance, pas la forme.
Nous savons tous que la somme des optimums locaux n’a jamais fait un optimum global ; bien au contraire, l’amélioration des indicateurs des uns engendre la détérioration des indicateurs des autres.
Les vainqueurs de demain géreront le chaos de façon proactive. Ils le percevront comme une source d’avantages sur le marché et non comme un problème à contourner.
Les options technologiques ne sont pas matière à débat public, dans aucun cadre. Les innovations sont à la fois aléatoires dans leur surgissement et contraignantes dans leurs implications. Sans raison et sans pitié, contingentes et inexorables. Elles envahissent les sociétés en court-circuitant les Etats, et donc en les déligitimisant.
Sans doute ces derniers s’efforcent-ils d’encourager, de répartir les crédits, de surveiller les débordements. Mais, de plus en plus, ce qui est techniquement optimal prend le pas sur ce qui est socialement légitime.
Le domaine de l’obligatoire relève de moins en moins de le loi ou du règlement, de la directive, fut-elle européenne, ou de l’autorisation, et de plus en plus des normes, protocoles et standards imposées de facto par des acteurs privés, sans visage, sans adresse précise, un sigle en guise de nom. – résultats d’alliances entre groupes ou d’hégémonies industrielles.
L’un voulait avoir la Théorie des frottements en vingt volumes, l’autre la Compilation des problèmes électriques, celui-ci le Traité pratique du graissage des roues motrices, celui-là la Monographie du nouveau cancer cérébral.
Les Harmonies Électriques de Martillac, ouvrage couronné par l’Académie des Sciences, les Méditations sur l’oxygène de M. de Pulfasse, le Parallélogramme poétique, les Odes décarbonatées…

Q300 | Quel futur souhaitable des métiers de l’intelligence ?
Dans un contexte où la gestion des données, de l’information et des connaissances revêt une dimension toujours plus stratégique pour les entreprises, les enjeux de

Q299 | Germaginaire : Insérer les futurs dans le quotidien, ou le dilemme de signaler la fictionnalité d’une expérience
Interrogeons-nous sur l’éthique de l’anticipation par le design avec une double-question quelque peu controversée : le public doit-il savoir — ou non — qu’il vit

Solastagie
Le terme de solastalgie a été forgé en 2003 par le philosophe australien Glenn Albrecht pour désigner un sentiment de mal-être spécifique ressenti par les

Sénophobie
La sénophobie se manifeste par des attitudes, des comportements ou des politiques qui marginalisent, excluent ou désavantagent les seniors.
Pour apprendre à créer, il faut apprendre à copier. Pour apprendre à être libre, il faut apprendre à obéir. Pour apprendre à penser, il faut apprendre à douter. Notre richesse est dans la dualité.
Puisque nous sommes soldats, il ne faut pas nous envoyer à la bataille en imaginant que nous pourrions ne pas avoir à combattre. Ou que nous pourrions ne combattre que modérément, avec la retenue qui sied à nos pudeurs de démocrates. Un soldat ne peut pas se lancer dans la terrible mêlée sans être happé par cette exigence, puissante, du déchaînement de la violence.
Il s’y confrontera avec toute son énergie, toute son intelligence, tout son courage. Avec tous les moyens disponibles également. Et qui doivent être rassemblés en qualité et en quantité suffisantes pour vaincre. À la guerre, la ratiocination et les calculs de rentabilité exposent au risque de l’impuissance et de la perte de tout crédit.
Quelles que soient la taille et la force de l’ennemi, le combat est un engagement extrême, individuel et collectif, auquel il ne faut se résoudre que si l’on est prêt à en assumer le coût.
Vouloir progressivement monopoliser l’initiative à son profit, à la guerre comme dans le rapport de parole, ne signifie pas pour autant qu’on ait à initier la situation. Il en va même tout le contraire, puisque, tandis que celui qui initie est toujours plus ou moins contraint à se hasarder, et par là s’épuise à frayer la trace, celui qui suit bénéficie de tous les repères nécessaires pour ne plus avoir à s’aventurer et évolue d’autant plus à l’aise qu’il sait sur quoi se guider. Lui a prise et l’autre non.
Sa conduite en acquiert une rigueur et une détermination, et par suite une force injonctive, qui réagissent en sous-main sur la relation initiale au point que, progressivement, tout en ne cessant de s’adapter à l’autre au-dehors, il est de plus en plus en mesure de le régir intérieurement.
Autrement dit, en ne cessant de suivre et de se laisser porter par-devant, on accède à une position beaucoup plus riche d’effet possible, dans son retrait, que le devant besogneux du devancier : la capacité d’initiative se révèle moins au début qu’à la fin, elle aussi est le fruit d’une évolution, elle s’obtient par accumulation et se manifeste comme un résultat.